SAOULOGRAPHIE

La saoulographie du fousolophe Nic. 1976 à 2009.

On en sait très peu sur l’enfance du Foulosophe Nic Tout ce que l’on sait, c’est qu’il n’a pas réussi à finir sa maternelle, ce qui explique ses textes pourris. Tout ce que l’on sait, c’est qu’il a été vendu en échange d’une caisse de 24 à un cirque pour qu’il devienne la tête d’affiche d’un « freak show ». C’était mieux ainsi car tout ce qu’il mangeait c’était des volées. Jusqu’à l’âge adulte, sa vie fut comme celle de l’homme éléphant. Puis un jour, il s’est fait faire une chirurgie plastique qui lui a coûté la peau des fesses.

Voici une des rares photos de quand j’étais comme l’homme éléphant. Toute ma vie, j’ai dû porter un sac Glad. Mes parents m’empêchaient de sortir si je n’en portais pas un sur la tête. Je coûtais très cher en sacs car ma mère tenait à ce que je sois fier et que je n’en porte jamais un de second usage. Elle a tenté en vain d’essayer de me faire commanditer par les sacs Glad, mais ils ont refusé par peur que je ternisse leur image. Avec tous les sacs que j’ai porté, je dois être presque à moi seul un des grands responsables des continents de plastique qui se sont formés dans les océans.

Comme vous le voyez ici-bas, il a une méchante différence suite à mes injections de botox. Une différence qui est loin d’être monstrueuse.

Quand on lui a parlé des photos controversées montrant sa laideur à l’époque où il était réduit à une bête de cirque, il a dit : « Je ne comprends pas, j’ai pourtant racheté tous les droits d’auteur de ces photos pour qu’elles ne soient jamais publiées! Avec Internet, il suffit de quelques détracteurs pour scraper une carrière… Faut croire que certains veulent mettre des pommes pourries dans le panier de mon passé. »

C’est en 1990 qu’il rencontre Nazghoul, son co-compositeur. Nazghoul s’était fait engager par le « freak show » pour son regard hypnotique et ses performances des plus osées comme égorgeur de cochons.

Il faisait ça de façon théâtrale, les cochons symbolisaient les capitalistes qui gèrent le monde. Il a ainsi influencé plusieurs artistes connus, dont Alice Coupeux, dont les poules étaient de la petite bière à côté de lui. Marilyn Manson aurait aussi imité l’excentricité de Nazghoul avec les yeux et tout. Ozzy Osbourne également, avec ses chauves-souris. On dit même que c’est Nazghoul qui a réuni les membres du groupe Metallica lors d’une fête privée au manoir Playboy. C’était toute une bête de scène ce Nazghoul. Marylin Manson a beaucoup de croute à manger  pour  avoir la photogénie de Nazghoul.

Pour en revenir au Foulosophe NIc, c’est en 2003 qu’il jura que sexe, drogue et rock-and-roll rimeraient avec toujours. On pu dès lors lui prédire une fin bien amère qui laisserait tout le monde sur son appétit.

C’est en 1990 qu’il rencontre Nazghoul, son co-compositeur. Nazghoul s’est fait engager par le « freak show » pour son regard hypnotique et ses performances plus osées d’égorgeur de  cochons.
Il faisait ça d’une façon théâtrale et les cochons symbolisaient les capitalistes qui gèrent le monde. Il a ainsi influencé plusieurs artistes connus, dont Alice Coupeux,  dont les poules étaient de la petite bière à côté de lui. Marilyn Manson a aussi imité l’excentricité de Nazghoul avec les yeux et tout. Également Ozzy Osbourne avec ses chauves-souris. On dit même que c’est Nazghoul qui a réuni les membres du groupe Metallica lors d’une fête privée au manoir Playboy. C’était toute une bête de scène ce Nazghoul. Mais revenons à nos moutons. C’est en 2003 qu’il jura que sexe, drogue et rock-and-roll rimeraient avec toujours. On pourrait même prédire une fin bien amère qui a laissé tout le monde sur son appétit.

Dave (65)

En 2002, il fait la rencontre de celui qu’on allait baptiser Ricky Part et à qui il transmettrait, aux cours des tournées, son ivrognerie. Ricky Part passe à deux cheveux d’être le George Harrison du groupe. Leur musique est un mélange de musique actuelle et de « Noise ». Il faut se prendre une journée à l’avance pour acheter les billets de spectacle qui se vendent comme des petits pains chauds. Pour plusieurs « scalpeux » c’était une vraie mine d’or.

La même année survient ce qui allait être comme la rencontre entre Serge Gainsbourg et Jane Birkin. Le Foulosophe NIc rencontre « La Plouploune ». Elle donne un nouveau souffle et du vent dans les voiles au collectif.

De plus en plus, il caresse l’idée de faire un projet solo. Il pond des textes comme une poule aux œufs d’or. Cependant, son band de Noise ne cadre plus avec la musique qu’il veut faire.

Dans tous les journaux à potins, on déblatère sur la différence d’âge marquante entre lui et sa muse, on va jusqu’à le traiter de pédophile. En 2003, un de ces torchons à salissage fait éclater la rumeur que lui et Ricky Part, dans leurs soirées de vins et fromages, dégustent des bobettes mangeables de différentes saveurs. C’est l’hystérie! Les groupies leur lancent à chaque spectacles des bobettes mangeables qui contiennent bien souvent du LSD. Leurs prestations deviennent de plus en plus psychédéliques. Ricky Part et lui sombrent de plus en plus profondément dans l’alcool et les drogues. Le succès leur monte à la tête. Partout où ils vont, ils exigent de se faire traiter aux petits oignons et se conduisent comme des bourgeois avec leur caviar de béluga Bio, expressément originaire de Tadoussac.

On ne saura jamais ce qui c’est vraiment passé en 2006, mais des légendes urbaines disent que son internement à l’hôpital psychiatrique ne serait pas dû à un désordre d’ordre mental, mais bel et bien à un complot orchestré par « La Plouploune » et Ricky Part. C’est cette folle qui aurait offert un pot-de-vin aux autorités pour le faire interner. Tout ça parce que Le Foulosophe Nic voulait faire carrière en solo et arrêter de faire de la musique pour les psychotiques.

La légende urbaine dit qu’il aurait accepté d’organiser avec elle une soirée de dégustation de bobettes mangeables, mais le dosage fatal l’aurait mené au délirium tremens.

Comme Syd Barret, il a disjoncté. Nous avons alors perdu un grand artiste qui caressait pour son projet solo le rêve d’écrire des chansons dignes du grand poète Rock Voisine. Le seul moment mémorable aura été sa tournée avec son co-compositeur Nazghoul pour l’Hommage Unplugged Gothique à Rock Voisine où Nazghoul, pendant l’entracte, éventrait des cochons, y incérait des bébés morts et refermait le tout pour en faire le méchoui de la semaine.

Maintenant, à moitié fou de nostalgique du succès passé, on peut voir Le Foulosophe Nic déambuler dans les rues à moitié saoûl, se parlant tout seul, ou accoudé au bar, gribouillant sur des torchons de la poésie qu’un enfant de maternelle saurait faire. Tout ça parce qu’il ne prend pas bien sa médication.