VERNISSAGE

J’ai vécut des moments de grâce si enivrant à mon vernissage et comme à chaque conférence je rencontre des humains formidables. Depuis 2018, j’ai le privilège de pour influencer la formation des étudiants en travail social à l’université de Sherbrooke grâce à mon savoir expérientiel. Depuis, je rencontres des étudiants et des gens de savoir expérientiel qui ont changé ma vie et qui me font grandir et c’est gens ils greffent de l’humanité à ce monde qui en a grandement de besoin. Au fil des ans, de nouvelles amitiés se sont créer et ça m’a aider à bien des niveaux. Ses rencontres sont plus vraies et authentiques car ces personnes sont authentiques et ne jouent pas de game. Au fil du temps, j’ai appris de grandes leçons de vie. Ces personnes m’on influencé et depuis je vis l’une des plus belles métamorphoses de ma vie. Lors du vernissage j’ai eu tellement de beau feed back sur mes œuvres et j’ai rencontré de nouvelles personnes avec qui j’ai connectés et j’ai hâte de les recroiser lors des prochaines sessions à l’université. J’ai hâte d’aller foulosopher autour d’un thé avec ses nouveaux amis. J’ai hâte à l’automne prochain pour faire des ateliers eux et avec les nouveaux étudiants que je vais rencontrer. Ce vernissage restera à jamais gravé dans ma mémoire. Merci la vie de me faire rencontrer des gens qui me boulverse par leur authenticité et leurs originalités singulières.

Quand j’étais jeune les enfants et une professeur  riaient de moi quand je disais que je voulais devenir poète, faire de l’art visuel et différentes formes d’art. Combien de monde ont rient de moi et mon dévaloriser. Heureusement j’ai pas écouté tout ces cons et connes. Ces snobs qui pétaient plus haut que le trou. Tout ça pour dire que le 15 juin  2022  j’ai fait un vernissage pour l’université de Sherbrooke.  Une chance que j’ai eu la force de croire en mes rêves car j’en ai rencontrer du monde  qui passe leur vie à snober les autres ou à les intimider. Quand j’étais jeune je rêvais d’aller à l’université mais l’intimidation que j’ai eu durant mon enfance a fait que j’ai eu de la difficulté à l’école. Adolescent j’ai décrocher en tombant dans l’enfer de la drogue et j’ai eu la chance de m’éduquer par moi même. Comme je suis curieux de nature j’ai fait mon éducation par moi même. Croyez en vos forces même quand les gens rient de vous ou vous intimide. Moi mon instinct savait que je devais miser sur mes forces et c’est ces forces qui m’ont aider à vaincre la toxicomanie et de me rebâtir pour faire là meilleur version de mon moi même. Heureusement il a eu des gens de tout horizon qui ont cru en mes forces quand j’étais aveugle par la toxicomanie et mes problèmes de santé mentale. Je pense à tous ces gens quand je vois pas mes forces. J’ai vécu de très beau moment à mon vernissage. Le forum avec les étudiants de travaille social a été passionnant et on a foulosopher avec eux. J’ai eu zéro anxiété a animer le forum avec mes invité. Lors du forum on m’a dit de belles choses sur mes créations et sur mon parcours à propos de ce que j’ai fait pour vaincre ma toxicomanie et aider ma santé mentale. Je vais mettre ces beaux moments dans mon coffre de réussite. Ça va m’aider quand j’oublie mes forces.

RENCONTRES AVEC LES ARTISTES PARTICIPANT À L’EXPOSITION PARCOURS

Le collectif de la société des foulosophes disparus est orchestré par l’artiviste le Foulosophe Nic. La foulosophie brune de la société des foulosophes disparus aime remettre les pendules à l’heure pour la suite du monde. Ils sont des porteurs de flambeaux qui ont l’art de susciter des interrogations constructives. Avec sa bande d’iconoclastes Castro et foulosophes du plateau du vieux nord de Sherwood, ils répandent comme du pollen leur projets d’artivistes dans des vernissages au gré des vents et contre vents et marées . Ces foulosophes gonzos trouvent que ça fait du bien de refléter les vraies affaires grâce à la foulosophie brunes.

Voici l’affiche du vernissage « Je suis Trumpophobe et Twitler-phobe » L’affiche et la pochette de l’ ’album Trumpophobe est une conception graphique de : Étienne Ménard – etiennemenard@live.ca

Voici les photos du vernissage de 2017 de l’exposition décadente du Foulosophe Nic : « Je suis Trumpophobe et Twitler-phobe »

Ce vernissage était un prétexte  au lancement du quatrième album de l’artiviste Gonzo Nomade.

Cette exposition était   le manifeste  en arts visuels de la société des foulosophes disparus. La société des foulosophes disparus  et leur   foulosophie aime remettre les pendule à l’heure avec sa foulosophie pour la suite du monde.

La«Trumpophobie» caractérisée par une phobie imminente de finir cloîtrer dans un bunker anti-nucléaire. Obama a dit « Si quelqu’un ne peut pas gérer son compte Twitter, il ne peut pas gérer les codes nucléaires.»

Ces foulosophes gonzos trouvent que   ça fait du bien d’évacuer nos montées de lait pour lutter contre les vraies affaires du côté obscur de l’idiocratie de la Trumpocratie.

Le fils illégitime de Mr. Bungle vous offre un apéritif   de cet expo ou vous pouvez voir des oeuvres du Foulosophe, de Sylvie Lavoie et d’Étienne Ménard qui a fait la pochette de l’album.

Cette illustration de Trump est une conception graphique de : Étienne Ménard – etiennemenard@live.ca

En 2003 , 2004 et 2005, on a organisé des manifs de Zombie dans les rues de Sherbrooke contre la réingénieri de l’état de Jean Charest.. Voici les photos de  de 2004. Il y avait des oeuvres de l’artiste Art Philibert et il y a eu des lancements de notre fanzine le ras-le-bol et des shows de musiques.

Manif de zombie de 2003.

Manif de Zombie en 2003